A 17 ans, j’ai passé une audition au « Petit conservatoire de le Chanson » dirigé par Mireille.
J’ai été prise et ainsi j'ai pu bénéficier de cours où j’étais entourée de futurs grands chanteurs, mais qui, à l’époque ne le savaient pas encore. Dans un même temps, je tournais dans un célèbre feuilleton" Le Temps des Copains" avec: Bérangère Vattier (Microbe), Jacques Ruisseau (Etienne Chantournel), Henri Tisot (Lucien Gonfaron), Claude Rollet (Jean Delabre), Catherine Demanet (Geneviève) et Maryse Méjean (Maryse Mavaru) qui avait énormément de succès
J’y jouais le rôle de Mariette, l’un des rôles principaux pour les filles.
A 18 ans, j’étais grande pour l’époque, mince et on me disait jolie. Jacqueline Joubert la productrice de l’émission « Le petit Conservatoire », et la maman d'Antoine de Caunes.
L'émission passait une fois par mois à la télévision. Vu mon physique Jacqueline me conseilla de faire des tests de photos pour le magazine « Marie Claire » qui était très en vogue à ce moment là. Mes tests furent concluants, aussi je dû faire un choix entre la comédie, le chant ou le mannequinat.
Mireille |
Le Temps de Copains |
A 18 ans, j’étais grande pour l’époque, mince et on me disait jolie. Jacqueline Joubert la productrice de l’émission « Le petit Conservatoire », et la maman d'Antoine de Caunes.
Le Petit conservatoire |
Jacqueline Joubert |
Antoine de Caunes |
Je n'étais pas vénale mais ma famille ne roulant pas sur l’or il me fallait choisir la solution qui me permettrait de gagner rapidement de l'argent, je choisi donc le mannequinat. Cela a duré 20 ans, ce qui est très rare. J’avais un visage classique, mais ayant toujours fait 10 ans de moins que mon âge, je pouvais donc tout faire. Et cela me laissait le temps de vieillir.
J’ai oublié de vous dire que je devais mon physique, du subtil mélange d’un père nordique, un chti de Valencienne et d’une mère Sétoise, qui était son contraire.
Mon père nous laissait au mois d’août dans une location ou un camping à Sète. Là, c’était le bonheur pour nous les petits parisiens, de courir et s’amuser sans risque dans la rue des pêcheurs où mon oncle lui, Espagnol et elle Calabraise, habitaient modestement avec leur sept enfants.
Quand je fus plus grande, je me précipitais au « Corsaire », la plage à la mode. Là Bernard Baraillé, photographe à Midi-Libre m’y mitraillait pour des articles où je parlais des nouveautés Parisiennes.
J’étais l’enfant du Pays qui avait réussi parmi tous les autres, car cette ville était une mine de génies dans tous les domaines. Encore maintenant, je sens cet amour qui me porte et qui rejaillit aussi sur mon fils, mon « Petit » comme ils disent ici, même s’il a quarante ans.
Mon père nous laissait au mois d’août dans une location ou un camping à Sète. Là, c’était le bonheur pour nous les petits parisiens, de courir et s’amuser sans risque dans la rue des pêcheurs où mon oncle lui, Espagnol et elle Calabraise, habitaient modestement avec leur sept enfants.
Quand je fus plus grande, je me précipitais au « Corsaire », la plage à la mode. Là Bernard Baraillé, photographe à Midi-Libre m’y mitraillait pour des articles où je parlais des nouveautés Parisiennes.
Au Corsaire à Sète |
J’ai deux amours, Paris et Sète, mais c’est à Sète que je vis.
Si vous souhaitez des informations, conseils et autre sur le métier de mannequin n'hésitez à me contacter :
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