On m'avait dit de ne pas me maquiller et de ne pas me coiffer pour avoir l'air sauvage. J'avais emprunté une chemise militaire pleine de déchirures à mon copain , qu'il mettait pour peindre.
Je n'avais pas trop ma place au milieu de ces Beatniks et j'ai été la seule dont rené Chateau n'a pas parlé dans son article . Je pense qu'il m'ont mis là pour faire bien et améliorer le côté esthétique du reportage. Il faisait la même chose pour la nationalité des filles qui faisaient les play-mate de charme. Elles venaient toutes des USA, de Hollande, d'Allemagne etc. ça donnait un peu d'exotisme, en réalité elles étaient bien Françaises et faisaient partie comme moi de l'agence Catherine Harlé. En tout cas, je remercie "Lui magazine" de m'avoir intégré à cet article, car grâce à ces photos j'ai travaillé énormément. Merci à Lui !
Avec ma chemise déchirée aux bons endroits. |
Moi prête à mordre en contradiction avec ce couple très paisible. |
Trois photos que j'aime beaucoup. |
Ma préférée. |
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