Je ne suis plus seule au milieu de la foule comme ma mère l'avait vu dans les lignes de ma main.
Je suis avec un homme qui, soi disant était tombé amoureux de moi quand il m'avait vu pour la première fois dans le film publicitaire Palmolive.
Il avait dit à son cousin avec qui il était allé au cinéma : "Tu vois cette fille, un jour je l'aurai", et il était descendu de St Dizier à Paris avec cette idée là dans la tête. Quand je l'ai vu en chair et en os, c'était au ranch d'Halliday où il avait fait la décoration de la boite. C'était pour un jour de l'An, alors il s'est débrouillé pour que l'on danse ensemble et aux 12 coups de minuit, il a pu ainsi m'embrasser sur la joue, ce fut tout, car à l'époque j'étais avec Christian.
Ensuite nous avons eu une vie chacun de notre côté, lui, un mariage et une petite fille, moi, sans mariage et un petit garçon.
Nous nous sommes retrouvés à l'âge de 34 ans, lui presque divorcé et moi presque séparée.
Je l'ai revu au Lola, une boite à la mode, nous avons dansé le rock ensemble on aurait dit que l'on avait fait ça toute notre vie. Il avait le look voyou chic, perfecto, jeans moulants et les cheveux blonds, ça allait bien ensemble. Il était le styliste de sa propre boite de prêt à porter ce qui expliquait sa façon d'attacher beaucoup d'importance aux vêtements qu'il portait.
Nous nous sommes retrouvés à l'âge de 34 ans, lui presque divorcé et moi presque séparée.
Je l'ai revu au Lola, une boite à la mode, nous avons dansé le rock ensemble on aurait dit que l'on avait fait ça toute notre vie. Il avait le look voyou chic, perfecto, jeans moulants et les cheveux blonds, ça allait bien ensemble. Il était le styliste de sa propre boite de prêt à porter ce qui expliquait sa façon d'attacher beaucoup d'importance aux vêtements qu'il portait.
Bernard |
Bernard à Hyères |
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire